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Il y a quelques semaines, l’écrivaine Leïla Slimani a été nommée — ambassadrice — personnelle à la francophonie d’Emmanuel Macron. L’écrivaine Franco-Marocaine et Lauréate du Goncourt 2016 pour son roman « Chanson douce » fait depuis quelque temps parler d’elle et de son tallent au goût des fans de « Sex and the Arab City ».

L'écrivaine à peine deux mois après son dernier essai « Sexe et mensonges — la vie sexuelle au Maroc » aux éditions Les Arènes, un ouvrage incluant « les témoignages de plusieurs femmes marocaines ayant subi des agressions sexuelles ». L.Slimani, une plume nymphomane dans l'âme , est une militante confirmée pour la liberté sexuelle au Maroc et l’égalité entre les hommes et les femmes. Elle assume à travers ses démarches littéraires son féminisme, sa "nymphomanie" et sa lutte depuis quelque temps pour interdire le voile/la Burqa dans son pays natal le Maroc. Elle est l’une des figures montantes et partisanes de la politique menée par le jeune président depuis les premières heures de l’annonce de sa candidature ! Cette nomination présidentielle n’est qu’une récompense méritée en tant que jeune intellectuelle binationale, où à 36 ans elle a pu soulever à son tour, comme elle veut la coutume médiatique française quand il s’agit des « dessous » et mœurs des sociétés arabes, et doper davantage la compagne « balance ton porc » ! C’est vraiment navrant pour le prochain salon de l’agriculture. Macron va rencontrer un problème de taille, quand les « porcs » de l’Hexagone vont être balancés sur les pavés de la capitale… Quel gâchis ! Bien entendu, on n’a pas de leçon à donner à lauréate appréciée par le couple et régime Macron. On aurait aimé que la jeune "hédoniste" talentueuse de la littérature française use de son « verbe audacieux et nymphomanie » en dénonçant davantage le viol des peuples arabes par des régimes totalitaires et injustes. Ou dénoncer avec courage la souffrance, la corruption et les inégalités sauvages imposées aux peuples par des régimes « traitres et incapables » de répondre aux aspirations et attentes des masses. Au lieu d’accentuer les débats autour des sujets de grandes importances, on se noie dans les futiles et parfois inutiles tels les ébats et les mœurs des pays maghrébins en particulier, et arabes et africains en général ! Les priorités de ces pays nécessitent qu’on milite avec acharnement contre des régimes protégés par certaines grandes puissances occidentales afin que leurs intérêts ne changent pas de mains basses historiquement depuis l’ère de la décolonisation ! Les sociétés arabes d’aujourd’hui n’ont pas malheureusement besoin qu’on parle de l’égalité sexuelle. La priorité est de taille. Il s’agit de fondamentaux non acquis : droit à l’enseignement, droit au logement, droit à la liberté d’expression, droit aux soins, la liste des priorités est tellement longue et interminable ! Quand tous les besoins et aspirations vitaux des sociétés arabes, africaines et autres seront une réalité, on peut passer aux autres détails concernant une éventuelle — conversion ou imposition — à ces sociétés les concepts occidentaux tels : l’échangisme, l’homosexualité comme « alternative vitale », ou « Solution Maghreb » pour le tourisme sexuel selon les confessions de l’ancien ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, et on pourrait mettre en place toute la panoplie de l’univers sexuel à l’occidental ! On interdit aux pays musulmans et pays tiers la possession des technologies de pointe contribuant à l’indépendance industrielle et agraire y compris l’indépendance militaire, et parallèlement, on encourage avec ardeur et acharnement, et parfois on exerce même les chantages et pressions sur des régimes ( majoritairement héritiers des colons) pour qu’ils revoient leurs (copies) du code de la famille, afin que ces pays — presque affamés — dépendent de l’étranger et auront en échange le loisir de la démocratisation de — l’écartement des jambes —de ses hommes et femmes et généraliser les écoles de nymphomanie sans aucune complexe ou contrainte religieuse, ethnique ou politique !



*Tariq Ramadan : verra-il la première lune de sa descente en enfer ?!



Le réalisateur, scénariste et producteur Franco-polonais Roman Polanski vient d’être accusé pour la cinquième fois pour pédophilie et viol, mais les médias et sympathisants du violeur et pédophile — selon les accusations des victimes — continuent à ne pas trop nuire à la réputation en or d’une grande pointure dans l’univers du cinéma mondial. Contrairement au cas Polanski, où ce dernier avait bénéficié dans le temps d’un large soutien des professionnels et amis, sans oublier celui des ministres français — controversés — tels Monsieur  Kouchner et bien sûr Frédéric Mitterrand. Ce soutien n’est pas accordé à Tariq Ramadan. L’universitaire Suisse, islamologue, professeur invité au sein de plusieurs universités y compris celle d’Oxford est pointé des doigts médiatiques, associatifs et gouvernementaux, en mettant souvent en évidence — sans aucun oubli — le rappel qu’il est le « petit fils de fondateur des “frères musulmans” en Égypte. Quant à Roman Polanski, il paraît qu’il n’a pas de grand-père à être évoqué ou cité dans les rubriques et chroniques saignantes de la presse qui ressemblent parfois à un sale torchon couvrant un Camembert datant depuis une belle lurette ! Quand on présente dans la presse Plolanski, on néglige souvent que ce prédateur sexuel est le fils ou petit fils de quelqu’un décédé dans le siècle passé. Seulement le rappel des ancêtres et racines redevient un sujet d’actualité quand on parle de T.Ramadan, ou d'un voleur à l'étalage. On remonte à ses ancêtres en arrivant même jusqu’à Mohammed ! Depuis plusieurs années, le maître conférencier et écrivain sur “Islam moderne et sa compatibilité avec la démocratie” restera l’ennemi numéro un et la cible d’attaque privilégiée de plusieurs organisations féministes, laïques et beaucoup de médias Français. Henda Ayari, une soi-disant ex-salafiste ou salafiste en cours de “désalafisation” depuis 2016 par une “thérapie culturelle inversée” via un processus de “féminisation” où cette dernière surgit de nulle part et raconte sa version des faits, en accablant médiatiquement T.Ramadan. D’après les éléments publiés dans la presse, elle était dans “la merde sociale” jusqu’au cou ; divorcée d’un (salafiste), elle avait perdu la garde de ses enfants après cette séparation, sans salaire, sans logement, elle était dans une situation très vulnérable, alors elle se réfugiait dans les réseaux sociaux pour trouver du réconfort et de la compagnie, jusqu’au jour elle décide d’enlever sa burqa en suivant les conseils de son assistante sociale, afin de trouver du travail. Peu de temps après avoir jeté sa burqa et mis du rouge à lèvres et poster sa photo, la repentie vers le monde libre et féministe avait trouvé un travail au sein du site de Ramadan. Elle été aidé par la suite pour retrouver stabilité professionnelle. Sa situation s’est vite améliorée en quittant sa misère d’auparavant, en récupérant même ses enfants et sa joie de vivre en 2011. Le rappel à l’ordre de T.Ramadan — sur FB suivant le post de sa photo sans Niqab l’avait bousculé, car dans la tradition musulmane y compris le courant du “salafisme” ; une femme ne doit pas montrer ses cheveux ni être vue maquillée par un étranger ! Après le rappel de T.Ramadan, ce — vertueux — savon “prédicateur et moralisateur”. Après les excuses de Henda Ayari, les discussions avec Ramadan redevenues plus intimes, plus intenses : “J’étais émerveillée. Je le trouvais séduisant, beau. J’étais tellement flattée qu’il s’intéresse à moi. Il m’a demandé mon numéro et m’a proposé de nous voir quand il viendrait à Paris.” Pour que nos lecteurs comprennent bien certaines règles dans l’Islam ; une femme pratiquante ne doit pas rencontrer un homme étranger en dehors de sa propre famille. Le courant salafiste est beaucoup plus strict sur ce sujet. Une femme ne peut pas même être vue non voilée par les frères, proches ou cousins du mari si elle est mariée bien sûr ! Une femme pratiquante (religieuse) ne peut pas voyager seule, ou sortir sans l’accompagnement d’un Mohrim = une personne qui a un (lien de parenté directe), frère ou tuteur ! Alors que cette salafiste en voie de — désalafisation — vers le féminisme semble très ouverte et en avance par rapport aux autres “religieuses” et pratiquantes musulmanes, elle accepte un “rencard” amoureux dans une chambre d’hôtel parisien. Prenant — discrètement — un taxi de sa région (Rouen) jusqu’à son hôtel parisien, elle monte en direction de la chambre du rencard, elle frappait à la porte de la chambre de son amant séduisant nommé T.Ramdan (où ils avaient partagé déjà des discussions intimes virtuelles sur Facebook et Skype). La chambre de l’hôtel n’est qu’une suite logique de ce genre de relation banale extra-conjugale, c’est pour ça, elle affirmait dans son témoignage : » quand j’ai frappé à la porte, mon cœur battait. Il m’a accueillie avec un plateau de gâteaux orientaux et m’en a proposé, j’ai refusé. Quelques minutes plus tard, il m’a embrassée, et je me suis laissé faire, je n’ai pas honte de le dire", jusqu’ici le récit semble logique et normal pour ce genre d’aventure. Le hic commence par ce récit : « il s’est littéralement jeté sur moi. Alors le conte de fées s’est transformé en cauchemar, le prince charmant en monstre. Il m’a étranglée très fort, si fort que j’ai pensé que j’allais mourir. Il m’a giflée, car je résistais. Il m’a violée. Je me suis sentie en extrême danger. Il m’a insultée : “j’étais venue pour ça, je méritais ça, je l’avais cherché”. », mais malgré moi. Cela a été la pire nuit de ma vie. Le matin, il s’est douché et a glissé un billet dans mon sac pour le taxi ». Ou encore, elle argumentait son témoignage : « je sortais du salafisme, je n’avais eu qu’un homme dans ma vie. Et encore, je n’avais eu des relations sexuelles avec lui - l'ex-mari - que pour mettre au monde des enfants. Je voulais comprendre, revoir Tariq Ramadan pour comprendre. « Je vais m’occuper de toi », m’a-t-il déclaré. Je voulais lui montrer que j’étais une femme qui assurait. Nous avions des échanges sexuels épistolaires. On ne comprend pas bien que veut dire sortir du satanisme ! On est bien d’accord qu’elle ne veut pas rester sous le dogme du salafisme, mais le satanisme n’est qu’une idéologie « faussée » par certains désœuvrés et incultes par leurs pratiques et interprétations personnelles opportunistes. Le Salafisme veut dire littéralement, suivre la tradition du prophète et ses compagnons. En général, on dit les Sunnistes ! En suivant sa logique de raisonnement, et en la comparant avec les règles générales de l’islam, même en quittant le Salafisme, rien ne peut la dédouaner ou autoriser sa rencontre avec un homme étranger dans une chambre d’hôtel en dehors du cadre légitime ou familial, à moins qu’elle veuille dire « quitter la pratique de l’Islam, et qu'elle a choisi d'être libre, et ce choix est indiscutable!» (“Il voulait que je sois son esclave sexuel. ‘Tu viendras à Paris, je te donnerais de l’argent pour tes trajets. On pourra se voir tous les quinze jours. J’aime les filles qui ont du caractère, cela m’excite. Avec ma femme, il ne se passe plus rien, c’est comme une sœur. Je vais demander ta main à tes parents’, m’a-t-il écrit, par exemple) affirmait dans ses déclarations à la presse. 
Quoique qu’elle était violentée et violée par Tariq Ramadan, cette dame affirme au (Parisien), qu’elle avait l’intention de le rencontrer à Paris encore et encore, selon elle: comme elle avait refusé d’envoyer sa photo dénudée, cela avait provoqué une crise chez Tariq Ramadan, suivie par des échanges d’insultes et menaces !
Quelle sage et cohérente femme! Celle qui aurait été violée une fois, elle récidive et revient sur les lieux du crime et accepte toujours les avances et donne son accord pour rencontrer une seconde fois son bourreau amant-violeur, peut-être elle était sous l’emprise du syndrome des Frères musulmans » ?!. On n’arrive pas à croire cette version à cent pour cent, elle a une similitude avec l’affaire DSK ! Il est tout à fait possible (jusqu’à qu’on prouve son innocence ou culpabilité) que T.Ramadan (l’homme) soit frustré sexuellement, et a eu des aventures torrides avec certaines de ses admiratrices y compris cette salafiste mutante repentie vers le « féminisme » libertin, qu’elle était « manipulée » par les discours du maître-conférencier-chanteur et éloquent professeur ! Sérieusement, cette histoire nous semble bien — scénarisée —, mais par qui ? Est-ce l’ancienne salafiste n’était qu’une militante féministe - en sous-marin - infiltrée dans les groupes salafistes, ensuite, elle s’est retirée pour donner un coup dans la fourmilière en livrant T.Ramadan (le « petit fils du fondateur des frères musulmans) aux médias et la justice sur un “voile en or” ! Ou bien, elle n’était qu’une opportuniste désespérée qui a choisi le timing et saisi la première occasion après le scandale de Weinstein, producteur mondialement connu d’Hollywood et après la nouvelle tendance de dénonciation “dénonce ton porc” pour sortir de l’anonymat et se faire un nom — au nom du féminisme — sur le dos d’une célébrité frustré dans sa vie privée et très détestée pour ses débats controversés en France ? Elle était divorcée, sans ressources, privée également de ses enfants, SDF. Aujourd’hui, après "J'ai choisi d'être libre" en 2016, et après ses déclarations choquantes, l’anonyme est désormais sollicitée, soutenue par les médias et associations, et par sa démarche courageuse émancipatrice  est redevenue [une écrivaine] à succès où elle racontait ses ébats avec l’homme le plus célèbre dans la sphère islamo-intellectuelle, seulement son personnage personnel violeur séducteur désigné par un pseudo ! : » j’ai consacré un chapitre dans [mon livre] à cette histoire, mais j’ai remplacé le nom de Ramadan par un pseudo ». On sait que cette histoire nuit beaucoup à la notoriété de Tariq Ramadan, et qu’une armée de « journalistes éboueurs » n’attendent que ça pour achever le « Petit fils de “Hassan Al-Bannae, pas l’universitaire et l’écrivain qui dérange beaucoup ! On sait très bien que Tariq Ramadan n’est pas ‘un saint’ non plus, on sait, on sent qu’il est un manipulateur de très haut niveau, qu’il cache magiquement son jeu pour gagner de plus en plus les foules et davantage de notoriété, c’est pour ça qu’on souhaite aussi que la vérité éclate, pour savoir qui est le coupable et qui est la victime. Espérons-le que la féministe autoproclamée victime rencontrera l’âme sœur qui puisse l’aider à surmonter ses traumatismes, difficultés sociales et familiales, que Dieu mettra dans son nouveau droit chemin un mec ouvert, intellectuel et sympa non manipulateur ni pervers ! Quant à Tariq Ramadan : va-t-il anéantir sa notoriété et sa réputation dans le monde musulman et dans les rangs des minorités établies en occident à cause de son ‘petit Jésus’ gourmand, excité et encagoulé par les ‘théories d’adaptabilité de l’Islam dans un monde moderne’ s’il est reconnu coupable ? 
-El-Fayçal Satirique (L.K)

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Dernière modification le mardi, 21 novembre 2017

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